13 octobre 2006
Là ou je m'endors
Là où je m’endors
Les rêves sont plus vrais et sensuels
Que le ciel qui me tient compagnie
Nourris de douces étincelles
De corps respirant à l’infini
A ces nuits épousées de fraîcheur
La fièvre dévale en tous sens
Sur ces nuits folles semées d’ardeurs
Couronnées de mille essences
La pluie s’entiche d’y déverser
Certains soirs, un regard sublime
Enfermant les chagrins brûlés
De fleurs amour qui S’y dessinent
Sur ce ciel précieux qui m’est offert
S’évapore en blanches traînées
Les trésors réduits en poussières
Que mon destin a tant dispersé
Bleu –Océan / Oct2006
Publicité
Commentaires